« Vendredi 29 novembre 2013, la FNAQPA (Fédération Nationale Avenir et Qualité de vie des Personnes Âgées) participait au coup d’envoi des concertations sur la réforme du vieillissement, donné par Jean-Marc Ayrault, Premier ministre.
Parmi les nombreux acteurs du grand âge réunis, la FNAQPA était représentée par sa vice-présidente, Sandra Bertezène, et son directeur, Didier Sapy, accompagnés de Mme Marie Perret, 88 ans, présidente de l'association Liberté du Résident en Institution (LRI).
A l’issue des discours empathiques des personnes présentes à la tribune, la FNAQPA salue la prise de conscience, l’ambition politique et les objectifs affichés lors des différentes interventions.
La FNAQPA formule également le voeu que la traduction de ces bonnes intentions passe par des mesures concrètes, tangibles et pérennes, notamment en matière de financement.
Néanmoins, la FNAQPA avoue son incompréhension face au calendrier proposé par le Premier ministre, qui repousse à la fin du quinquennat la situation pourtant difficile et urgente des 600 000 personnes âgées vivant en établissement.
Sur ce sujet, la FNAQA considère la maison de retraite comme de l’habitat, fusse-t-il médicalisé.
A ce titre, dans le cadre d’une grande réflexion sur le logement et sur le parcours résidentiel des âgés, la FNAQPA demande que la question des établissements fasse partie intégrante de la réflexion menée sur le maintien à domicile.
Soucieuse de l’amélioration de l’accompagnement des personnes âgées dans leurs parcours de vie et de soins, la FNAQPA entend participer activement aux concertations à venir, apportant au débat des éléments concrets aidant à l’arbitrage politique nécessaire.
Un avis des mieux résumés par Mme Perret, saluant le « discours parlant et intéressant » de Mme Guinchard, et pour qui « les grands discours et les grandes intentions, ça suffit ». »
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