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Vivre sa passion en résidence senior, des témoignages de résidents des Senioriales riches en couleurs et variété !

Peinture, golf, engagement associatif, cuisine, animaux nocturnes, musique… une liste sans fin !

Publié le 11 février 2015

Chaque résident est unique et va continuer à s'épanouir au travers des passions qui sont les siennes. Autant de résidents que de passions potentielles, une fabuleuse richesse source d'échanges, de partage et de découverte.

Le blog des Senioriales, véritable miroir de cette richesse culturelle, foisonne de portraits, témoignages et interviews qui révèlent le quotidien des occupants des résidences ou villages seniors.

Tentons, au travers d'un petit patchwork, d'illustrer ces passions parfois... dévorantes.


Christiane, résidente aux Senioriales en ville de Marseille Saint-Loup, a toujours été passionnée de peinture et ce, depuis sa plus tendre enfance.

« Je suis issue d'une famille d'artistes peintres. En 1864, mon arrière grand-père, Barthélémy Juaneda, a fondé un atelier de peinture dans la banlieue d'Alger à Hussein-Dey (ville où je suis née). Cet atelier perdure encore au jour d'aujourd'hui. Le nom de mon arrière grand-père a même été donné à une rue de la ville en reconnaissance de son art.

Quels thèmes et artistes vous inspirent ?

Etant née au bord de l'eau, j'ai depuis toujours eu un coup de cœur pour les paysages marins. J'ai peint un seul tableau sur le vif.

J'ai beaucoup été inspirée par Monet, pour ses toiles représentant des paysages et des portraits, ainsi que par Bernard Buffet, un peintre expressionniste aquarelliste représentant des portraits, des paysages, des animaux, etc.

Pour ma part, j'utilise la peinture à l'huile. Les nuances de couleurs, les effets de lumières et les détails sont plus prononcés avec ce type de peinture.

Vos œuvres sont-elles visibles par le public

Je fais partie de l'association des « Arts Créatifs Saussettois » (à Sausset-les-Pins). Deux expositions sont organisées chaque année, une au mois de Mai et une au mois de Novembre, pour que les membres de l'association puissent exposer leurs œuvres.

J'ai également exposé durant 30 jours dans un hôtel/restaurant.

Partagez-vous votre passion avec d'autres résidents des Senioriales ? Et comment ?

Ayant parlé de ma passion à plusieurs résidentes, certaines d'entre elles ont manifesté de l'intérêt pour apprendre le dessin et la peinture. J'ai donc commencé à donner quelques « cours » de peinture à mes voisines au Salon Club. Nous avons même envisagé, d'ici le printemps, d'aller peindre sur le vif (en extérieur). »


Anne et l'engagement dans une association

L'engagement associatif d'Anne, résidente des Senioriales de Saint-Avertin en Indre et Loire, qui est très engagée dans l'association Les Enfants de Klang Leu, qu'elle a créée en 2006 avec son mari alors qu'ils résidaient au Cambodge.

« Mon mari et moi-même avons créé cette association depuis 2006 pour venir en aide à quelques familles vivant dans un quartier très pauvre de Sihanoukville [au Cambodge].

Le but premier et principal répondait à leur demande unanime : permettre à leurs enfants en âge scolaire d'aller à l'école tous les jours. Jusque-là, les enfants aînés avaient la charge de s'occuper des plus jeunes pendant que leurs parents travaillaient.

Nous avons donc commencé par créer une crèche pour accueillir une quinzaine d'enfants (de 2 mois à 6 ans), encadrés par 2 nourrices, au sein même de leur village. Puis, au fil des mois et de l'augmentation des donations, nous avons ouvert un centre d'accueil aux plus grands (jusqu'à 15 ans), en leur apportant, outre un repas le matin et des soins d'hygiène au quotidien, des activités pédagogiques et ludiques, des cours d'anglais, de soutien scolaire et d'informatique, des activités sportives. Aujourd'hui, nous accueillons ainsi une cinquantaine d'enfants chaque jour. 4 personnes sont salariées grâce à notre association.

A l'extérieur, dès que cela s'avère nécessaire, nous leur permettons l'accès gratuit aux soins ainsi qu'à leur famille, la réparation ou construction des logements, la mise en route d'un jardin potager communautaire, la fourniture des uniformes scolaires, etc.

Quelles raisons vous ont poussé à vous impliquer dans cette association ?

En arrivant au Cambodge (ce choix de pays n'était pas innocent), nous avions l'intention de vivre notre moment de retraite un peu différemment, en nous mobilisant vers une action concrète. La rencontre de toutes ces familles qui manquent de tout et qui pourtant ne souhaitent qu'une seule aide, la scolarisation de leurs enfants, nous a fait comprendre que c'est le seul choix possible pour améliorer leur situation tellement difficile.

Quels sont vos objectifs et vos projets pour le futur ?

Notre action à Klang Leu est loin d'être terminée. Après un an de vie en France, je constate que notre association continue toujours sur les bons rails, l'équipe locale est d'une efficacité remarquable malgré mon soutien plus éloigné et les étudiants volontaires qui viennent chaque année sont toujours aussi motivés pour donner de nouvelles ouvertures aux enfants. Je ne peux donc que souhaiter la pérennisation de notre travail. Les enfants le méritent.

Nos sponsors nous soutiennent avec beaucoup de générosité et nous encouragent régulièrement. Donc on continue sur le même principe, permettre aux enfants qui grandissent de continuer à étudier. Cette année, pour la 1ère fois, nous avons 3 enfants qui ont atteint le niveau 3ème ! C'est encourageant pour eux, pour les plus jeunes qui les regardent et pour leurs familles.

Des soins médicaux et dentaires réguliers, de bonnes notions d'hygiène, des légumes et fruits cultivés sur place donnent à tous ces enfants et à leur familles plus de vigueur pour travailler. C'est grâce à cela et à une meilleure éducation que la prochaine génération pourra peut-être obtenir un niveau de vie décent.

Comment contribuer et aider votre association ?

-Par la publicité bien sûr : notre communication via internet (www.les-enfants-de-klang-leu.org), notre page Facebook, les flyers à distribuer dès que possible, tout est bon pour nous faire connaitre. La dernière action (vente-expo artisanale) réalisée aux Senioriales de St Avertin nous a permis de récolter 300 euros pour participer à la construction en urgence d'une maison pour une famille qui vivait dans la rue.

-Et surtout, par les donations, institutionnelles ou individuelles. Sans argent, pas d'aide possible. Tous les fonds collectés sont entièrement utilisés pour des actions directes et justifiées auprès des enfants et de leurs familles. Actuellement, outre des donateurs privés, nous avons 4 associations françaises qui nous soutiennent de manière régulière. »



Pour Marc c'est le golf!

Pour Marc, résident de la résidence de Rochefort dans le Gard, la petite balle blanche qui titille la douceur du green, c'est tout un art de vivre. Alors, si vous ne le trouvez pas chez lui, à la résidence, ne vous inquiétez pas, il doit être sur le green !

Moins d'émulation pour participer aux compétitions, moins de connaissances pour l'entrainer sur le parcours, il reste tout de même accro à ce qui est pour lui un sport mais aussi un art de vivre et une passion.

Tennisman pendant des années, il est venu au golf pour continuer à pratiquer un sport tout en éliminant l'effort intense du tennis au profit de l'endurance.


Marc, est-ce pour cela que l'on dit que le golf est un sport de vieux ?

« Je pense plutôt que c'est parce qu'il est possible de le pratiquer jusqu'à un âge avancé. Egalement, parce qu'il faut du temps pour faire un parcours et, en semaine, à part les golfeurs retraités, peu de jeunes ont le temps de jouer. Mais si vous allez le week-end et pendant les périodes de vacances dans un club de golf, vous verrez que ce sport draine un grand nombre de jeunes. Le mercredi vous y verrez même des enfants, la relève est assurée. Reconnaissons également que c'est un sport qui coûte assez cher si l'on n'est pas membre d'un club, ce qui implique de jouer souvent et toujours au même endroit, ce qui est plus le choix des seniors.

Que recommanderiez-vous à l'un de nos voisins qui serait intéressé par le golf ?

De prendre contact avec un professeur pour avoir une première approche. Se lancer tout seul est le meilleur moyen de s'en dégouter. C'est un sport très technique, il ne suffit pas de taper dans une balle, encore faut-il savoir apprécier les distances, la configuration du terrain, savoir moduler son mouvement... Après ce premier contact, s'il est positif, il lui faudra prendre des cours et beaucoup s'entrainer au practice pour s'améliorer.

Il n'y a pas d'autres obligations ?

Il vous faudra atteindre un niveau acceptable pour passer un léger examen (carte verte) et accéder à un parcours. Cet examen comprend la connaissance des règles techniques et de l'étiquette. Nous sommes un sport de gentlemen, nous devons respecter le parcours et les autres joueurs. De même vous devrez prendre votre licence pour être assuré. Pour faire des compétitions vous devrez également passer une visite médicale.

Tout cela parait un peu contraignant, mais après tous ces efforts, vous nous promettez des moments agréables ?

Effectivement, les golfs sont en général des lieux bien entretenus qui vous procurent une sensation d'apaisement. Je ne vais pas parodier Mark Twain qui a dit que « le golf est une promenade agréable gâchée par une petite balle ». C'est certainement de l'humour anglais pratiqué par un américain ! Pour moi c'est un moment de détente et de convivialité qui permet de faire des rencontres et de passer un bon moment entre amis. Chacun joue pour soi, nous sommes notre seul adversaire, les autres joueurs sont nos partenaires.

Même en compétition ?

Peut être pas. Rester correct n'empêche pas une montée d'adrénaline et le plaisir de gagner au classement, si l'on gagne ! Dans le cas contraire, on jure que l'on va arrêter ce sport mais c'est juste un moment de mauvaise humeur. »

Marc possède une collection de balles logotées de différents golfs. La plupart viennent de golfs français mais il en possède également de golfs étrangers. Très exactement 114 françaises et 24 étrangères.

A quoi correspond cette collection ?

« Chaque fois que je fais un nouveau parcours, j'achète une balle avec le logo du club. Pendant ma période d'activité professionnelle je faisais partie du club d'entreprise. Nous avions une compétition pratiquement toutes les semaines, dans un golf différent à chaque fois.

Et je choisissais le lieu de mes vacances en fonction des golfs alentour. Les balles étrangères viennent de mes différents voyages à l'étranger.

Qu'elles sont vos préférées ?

Celle d'Hong Kong et celle de St Andrews, le temple du golf.


Voilà un bon moyen de bouger et de se faire plaisir sans mettre sa santé en danger. Il y a bien d'autres renseignements à prendre sur le golf : le handicap, qu'est-ce que c'est et à quoi ça sert, comment faut-il s'équiper pour bien jouer, avec quel matériel ... ? Tout cela permettra de se rapprocher de notre voisin pour en discuter. »



Pour Andrée la vie est chouette!

Pour Andrée c'est une passion vraiment chouette, et d'ailleurs le non de cette passion, on ne risque pas de l'oublier : elle est hululophiliste !

Elle collectionne les chouettes. Attendez-vous à la voir craquer si d'aventure elle croise un objet ou une figurine de chouette. Tout au moins les objets qui représentent des chouettes et elle en possède plus de 200.

Bizarrement l'étymologie du mot « hululophilie » n'est pas connue. Bien sûr il peut paraître évident de le rapprocher du cri de la chouette, mais la chouette ulule (du latin ululare, crier comme la chouette). L'Académie Française a condamné l'orthographe 'hululer' comme non conforme à l'étymologie, mais s'il est un domaine où la création des mots nouveaux est florissante et parfois peu respectueuse des règles, c'est bien celui des collections. Si bien que la plupart des noms de collections et de collectionneurs ne figurent pas dans les dictionnaires usuels, mais sont utilisés dans le langage courant.

Âgée de 78 ans (si, si, il faut le dire parce que vraiment cela ne se voit pas) notre alerte voisine est originaire de St. Dizier en Haute Marne. Une champenoise qui a retrouvé des 'pays' lorsqu'elle est arrivée aux Senioriales de Rochefort du Gard.

Cette passion des chouettes, comment vous est-elle venue ?

« Et bien je n'en sais rien !... J'aime bien cet animal, j'ai dû en acheter une reproduction un jour, puis une autre un autre jour... les parents, les amis, sachant que j'aimais les chouettes, m'en ont apporté à chacun de leur déplacement.

C'était Le cadeau qui m'était destiné, à charge pour chacun de trouver quelque chose d'original.
Et me voilà avec toute cette collection. Je leur ai demandé à tous de cesser car je ne vais bientôt plus savoir où les mettre. Il y en a dans la salle à manger, dans ma chambre... Cela ne m'a pas empêché d'en rapporter une au retour de mon dernier séjour en Guadeloupe. »

Alors, regardons d'un peu plus près toutes ces figurines. Qu'ont-elles de différent ?

« Il y en a en plume, en porcelaine, en céramique, en verre, en cristal, en métal, en bois, en cire, en peluche, en granit, en dentelle, en étain sur améthyste, en corne, en papier...ce n'est pas tout, mais nous allons arrêter là. »

Ont-elles chacune une histoire ?


« Chacune, non, mais certaines. La peluche je l'ai achetée dans une kermesse où il y avait une bourse aux vêtements. J'ai tout de suite flashé dessus et avant même l'ouverture de la kermesse j'ai dit à la personne qui tenait le stand : « Celle-ci, elle est pour moi. »

Celle en cire m'a été offerte par l'un de mes petits fils. Celle que j'ai ramenée de Guadeloupe est en sable compressé mélangé avec de la cire. Les améthystes avec les chouettes en étain, ce sont mes petites filles qui me les ont offertes, celle au fond vient de Bretagne. Je ne me souviens pas aussi clairement de l'origine de chacune, mais celle-ci m'a été offerte lorsque je suis venue m'installer ici. 'Vive la retraite' me parait un chouette slogan. »

Le support aussi parait très diversifié !


« Regardez celle-ci sur la table du salon, c'est une boîte à bonbons. Dans la vitrine vous avez des porte-clés, des ronds de serviette, des stylos, des coupe papier, une bougie, une tirelire (sans argent dedans) un coussin, un cache pot, un photophore, une pince à billet, un dé à coudre, un pilulier... Tout un inventaire à la Prévert »



Pour Claude, c'est une autre histoire, il est placomusophile, euh vous avez dit quoi ?

La placomusophilie est le fait de collectionner les plaques de muselet. Le collectionneur est le placomusophile.

La plaque de muselet est la plaque métallique ronde, située au sommet du bouchon d'une boisson effervescente - champagne, mousseux, crémant, bière, etc. - qui évite au bouchon maintenu en place par le muselet en fil métallique d'être blessé par ce dernier. Elle est souvent appelée capsule, bien que ce terme recouvre nombre d'autres types de fermetures de bouteilles, contenant toutes sortes de liquides. Il existe de très nombreuses sortes de plaques de muselet, les plus connues et les plus renommées en France étant celles de champagne. Nombre de collectionneurs se cantonnent d'ailleurs à cette catégorie.

Claude, votre collection est impressionnante. Combien avez-vous de capsules et depuis combien de temps les collectionnez-vous ?


« J'ai actuellement plus de 2 000 plaques de muselet. J'ai commencé cette collection il y a bientôt 16 ans. D'une manière amusante d'ailleurs, je récupérais les capsules qui me paraissaient belles pour les donner à mon patron qui les collectionnait. En fait je me suis pris au jeu et j'ai pensé à les récupérer pour mon compte personnel. C'est ainsi que je suis devenu placomusophile, exclusivement sur les capsules de champagne d'ailleurs. A ce jour ma collection a dépassé en nombre et en diversité celle de celui qui fut mon mentor. Mon seul regret étant de ne plus pouvoir retrouver toutes celles que je lui ai données, sur le thème des monuments historiques. »

Cela représente un nombre impressionnant de bouteille !


« Mais je ne les ai pas bues parce que je ne bois jamais de champagne. J'ai acheté quelques capsules chez des marchands spécialisés, j'en trouve parfois dans les brocantes, j'en échange avec d'autres collectionneurs et des parents et amis m'en font cadeau. A ce propos, il m'arrive d'en trouver dans ma boîte aux lettres, ce dont je remercie les personnes anonymes qui le font.»

Alors comment commence-t-on une collection ?


« Au départ je prenais toutes celles que je trouvais. Puis je les ai classées par ordre alphabétique des producteurs. Ensuite, j'ai dégagé des thèmes mais ce n'est pas facile de trouver ainsi des thématiques. Maintenant je mets sur un tableau à part les capsules non personnalisées, les autres déjà rangées par thème je les mets par ordre alphabétique. »

Quels sont les thèmes que vous avez privilégiés ?


« J'ai par exemple celui des têtes, vous voyez, entre autres celle de Chirac l'année de son élection à la présidence de la république. J'ai celle des anniversaires dont celle du 250e anniversaire de la naissance de Mozart, les monuments historiques (enfin celles que j'ai réussi à retrouver), la collection complète des personnages de Tintin, sans oublier les cuvées spéciales pour l'an 2000... »

Mais comment savez-vous que votre collection est complète ?


« Au début j'allais à Nîmes dans une boutique où se retrouvaient numismates, philatélistes et placomusophiles. Un magasin spécialisé en quelque sorte. J'y trouvais des ouvrages, le Lambert entre autres, considéré comme la bible du placomusophile, où étaient référencées toutes les séries et les années de parution. Maintenant avec internet vous avez tous les renseignements sans bouger de chez vous.

Ce n'est donc jamais fini ?


Non, au cours de ces dernières années, avec le développement du nombre de collectionneurs, les producteurs y voyant de nouveaux débouchés, ont multiplié les variétés de capsules, n'hésitant pas à changer de couleur tous les ans, pour toutes les cuvées. Il faut donc refaire le classement en fonction de la nouvelle série. Je vais bientôt être obligé de refaire un nouveau support.

Voyez la série complète du champagne De Castellane, l'année prochaine il va sortir une nouvelle série de six capsules. Il ne suffit pas d'acheter six bouteilles d'un même champagne pour avoir la série. En général dans un carton les capsules sont toutes les mêmes. Non, il faut acheter, bouteille par bouteille, en espérant tomber sur la capsule qui vous manque ou l'échanger.

Lorsque vous trouvez une nouvelle pièce, comment savez-vous si vous l'avez ou non ?


Il faut avoir une bonne mémoire et la mienne est excellente. J'ai rarement des doublons dans ma collection.

Quelle est votre pièce préférée ?


Celle qui est ornée d'un dessin de Picasso. »

Avec la période des fêtes, nul doute que notre voisin va bientôt repartir à la poursuite de sa passion. De nouveaux graphismes, de nouvelles couleurs, des séries spéciales, le choix va s'étoffer en s'ajoutant aux quelques 40 000 capsules différentes qui existent déjà.


C'est d'un œil neuf que nous considèrerons désormais la plaque de muselet lorsque nous ouvrirons une bouteille de champagne. Pensons à notre voisin qui trouvera ainsi de nouveaux cadeaux dans sa boîte aux lettres.



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