Un secret de famille, révélé grâce à une correspondance retrouvée, va mettre à jour un amour filial. Tel est le propos de Lettres de Washington Square, le cinquième roman d'Anne Icart qui a eu la faveur du jury du Prix du Livre Cogedim Club 2020, présidé par Brigitte Fossey, entourée de Monique Atlan, Eric Bouhier, Philippe Grimbert, Francesca Mantovani, Delphine Peras et Pascale Senk. Elle était en compétition face aux deux autres finalistes : Corentine de Roselyne Bachelot (Plon) et Villa Taylor de Michel Canesi, Jamil Rahmani (Anne Carrière).
Parce que la lecture offre des moments d'évasion et de partage, en partenariat avec Grand-Mercredi, Cogedim Club a créé le Club de lecture
Grand-Parent & Résident au sein de ses 19 résidences services seniors.
En prolongement, le Prix du Livre Cogedim Club met à l'honneur l'auteur d'un roman ou d'un récit sur le thème de la famille et de la transmission, qui recevra une dotation de 5 000 €. Les 3 ouvrages finalistes sélectionnés par les résidents sont soumis à un jury, présidé par Brigitte Fossey.
Léontine, que tout le monde appelle Tine, vient de mourir. Dans la maison de famille, nichée au creux des Pyrénées, Zélie range les affaires de celle qu'elle a toujours considérée comme sa grand-mère. C'est là, en cherchant où entreposer les quelques objets de Tine qu'elle veut conserver, que Zélie découvre quatre grandes boîtes en carton rouge fané. Dans les boîtes, des dizaines et des dizaines de lettres. Des lettres dont aucune n'est décachetée. Toutes envoyées de New York. Toutes adressées à Michel, son père. Et qui racontent une tout autre histoire que celle transmise, entre silences et sujet tabou, par la légende familiale dans laquelle elle a grandi.
Ariégeoise de cœur mais Parisienne depuis toujours, Anne Icart est née en 1968. Elle exerce la profession de rédactrice juridique. Après Les Lits en diagonale (Prix des lycéens Fondation Prince Pierre de Monaco), récit de son histoire avec son frère handicapé, vendu dans cinq pays, et la «saga Balaguère» - Ce que je peux te dire d'elles (Prix du premier roman Méo-Camuzet), Si j'ai bonne mémoire et Le Temps de Lilas (Prix Pierre Benoît de l'Académie des Arts et Lettres du Languedoc) -, plébiscités par un large public, Lettres de Washington Square est le cinquième livre d'Anne Icart. Tous ses livres sont publiés chez Robert Laffont.
« Ce que j'ai particulièrement aimé dans cette histoire d'amour filial forte et entravée c'est la simplicité épurée de ce récit sur la transmission, qui laisse toute sa place à une émotion authentique, parce que pudique. Et aussi son issue lumineuse... » Monique Atlan, journaliste
« Le destin de ces émigrants venus tenter leur chance à New York dans ce melting pot, le symbole de Miss Liberty mais surtout la tendresse blessée d'un père et la toxicité d'un terrible mensonge dont le moteur est un amour exclusif et maladroit, tout cela a su me toucher... et touchera sans doute le lecteur ! » Philippe Grimbert, écrivain et psychanalyste
« C'est un roman captivant sur le dévoilement du secret comme principe avec des personnages attachants et tendres. J'ai aimé la délicatesse des sentiments, assez justes et la portée universelle de l'histoire. » Francesca Mantovani, photographe
« C'est un livre tout public car il sait ouvrir les cœurs sans pathos, juste avec cette puissance narrative de l'auteur qui tresse avec talent une belle histoire, comme celle que la vie, parfois, nous impose. » Pascale Senk, journaliste et auteure de haïkus